comment eviter de perdre ses clients avec sa Acheter Une Truffe
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작성자 Tristan 작성일24-11-01 03:02 조회18회 댓글0건관련링크
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Ce sont les paroles des Ariens qu’il rapporte, & qu’il leur reproche, aussi-bien que leurs autres excès, dont il fait un long détail. Ils proviennent d’une sale conception : dans la société bourgeoise, où tout est la propriété de quelqu’un, la femme ne fait pas exception à la règle. Finie, elle ne devait rien à personne : elle était l’œuvre des générations vivantes qui n’avaient pas, - comme dans notre société aussi crapuleuse qu’imbécile, - pour se payer une fantaisie, endetté les générations à venir. Elle n’a plus voulu se soumettre à cet esclavage et elle a eu raison. Ce qu’il y a de rupin, c’est qu’en s’élevant cérébralement, elle n’a perdu aucune de ses qualités féminines et qu’elle a, au contraire, gagné en beauté. L’instruction intégrale, truffe blanche d'Alba commune aux deux sexes, a élargi son cerveau et lui a donné une confiance en elle qui la rend bougrement différente des petites guenons bourgeoises. C’est bath aux pommes ! De même, ce qu’on ne voit plus, c’est des jeunesses se suicider par amour : quand les enfants étaient la propriété des parents, défense leur était faite d’avoir des amourettes selon leur cœur ; l’intérêt de la famille primait tout. Y a des choses dont on mange peu et non beaucoup ; puis il y a la diversité de goûts qui fait l’harmonie ; aujourd’hui même, y a des gas qui préfèrent un bifteck à un perdreau.
Dans la société harmonique, tout ce qui est vivant est autonome : les choses manufacturées, résultats des efforts musculaires et cérébraux, où les productions de la nature, appartiennent à tous et à chacun. Mais dans une société où il n’y a ni gouvernance ni propriété, personne n’a intérêt à commettre semblables crapuleries. De même la folie humaine est un résultat de l’autorité et de l’exploitation ; la surexcitation, l’angoisse, sont le lot de tous dans une société où, au lieu de s’harmoniser, les efforts se font une concurrence féroce et stupide ; où, quand on n’est pas écrabouillé soi-même, on écrabouille toujours quelqu’un… Si quelqu’un y met un doigt, ça froisse ses sentiments de proprio : il grince des dents, voit rouge… Dès qu’elle est en puissance de mari, le papa passe ses droits de proprio au type qui, dorénavant, la considère comme un ustensile appartenant à lui seul. Il en est des hommes comme des chiens : il est reconnu que chez les cabots, la rage est occasionnée surtout par la contrainte qu’on leur impose. On ne refoulera pas aux gigantesques besognes : on y aura d’autant plus d’entrain qu’on en verra l’utilité, le bon côté immédiat. En reluquant autour de soi, on constate que dans la catégorie des crimes, c’est ceux contre la propriété qui dominent : des roublards barbottent pour faire concurrence aux bourgeois et vivre à ne rien fiche ; d’autres surinent pour voler, etc.
D’ailleurs, y a pas de séquestrations arbitraires ; c’était bon autrefois : alors la gouvernance faisait boucler les types qui la gênaient ; des richards graissaient la patte aux médecins qui, moyennant finances, déclaraient fou un parent gêneur… À bien voir, c’est nous les dindons : les chats-fourrés et leurs copains nous montent le job avec leur prétendue fonction de préservation sociale, - leur métier consiste uniquement à protéger les richards contre le populo, - voilà le vrai ! J’étais agacé par certaines ordonnances royales, de la teneur desquelles je ne me souviens plus, et je lui dis : « J’étais très bien disposé, mais je ne le suis plus, depuis que la Révolution nous a été inoculée par les organes de l’autorité royale et sous son sceau. La cathédrale a été une déception : elle a douché les enthousiasmes. » Nous dînâmes, et il se comporta avec la vigueur et a tenue d’un homme qui aurait été à jeun. Au surplus, il est rare qu’au bout d’un certain temps, les malheureux soignés dans ces maisons n’en sortent pas complètement guéris. Un certain nombre de républicains, notamment Ledru-Rollin, réclamaient le suffrage universel. 13. Plantes polyspermes, dans lesquelles la fleur est suivie de plusieurs graines nues, au nombre de cinq, comme la renoncule, la mauve de marais, le quinte feuille, la fraise, &c.
Comme à tout, le seul remède à ces monstruosités est la liberté. Ainsi, en amour, on ne conçoit rien en dehors de la liberté : il ne vient à l’idée d’aucun ou d’aucune d’imposer ses baisers à qui les refuse. Maintenant toutes entraves sont éliminées et ils s’épanouissent en liberté. Et la cathédrale montait, montait ! À aucun moment de son existence nul n’a de droit sur sa personnalité ; même tout petiot, nul ne songe à faire peser sa volonté sur lui. Moins de deux minutes après son entrée à la salle, la poularde se trouve donc correctement et chaudement servie à chaque convive. Le respect que chacun a pour son semblable a modifié de riche façon les rapports et les relations. Donc, une fois le puant distinguo du tien et du mien mis au rancard ; quand chacun aura sous la main et sous la dent l’existence assurée, pourquoi diable un type se servirait-il du surin ou de la pince-monseigneur ? Les relations sexuelles ne sont plus un dégoûtant marchandage, une prostitution légale, sous forme de mariage : nulle arrière-pensée d’intérêt mesquin ne trouble les cœurs, aussi la franchise est entière. Ils arrivent comme les corbeaux après la bataille, quand tout est fini : ils reniflent dans tous les coins et, truffes noire lisse de même qu’un clou chasse l’autre, pour faire oublier le crime commis, ils en perpètrent un second : au nom de la loi on tue le coupable (plus malheureux que coupable) ou, suivant les cas, on se contente de lui enlever sa liberté, - crime presque aussi grand que de lui enlever la vie.